Pour ce qui me concerne, je suis "curieux de nature" et celle des collines de Provence
offre des richesses insoupçonnées à qui sait y regarder (de très près, souvent).
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Sainte Victoire. |
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Je ne suis pas non plus un spécialiste, qui ne voit que
par les dinosaures, ou les ammonites ou les oursins.
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Sainte Baume. |
Chacun d'eux, complet ou simple fragment,
quelque soit son aspect, sa taille, ou son état, participe à la grande "valse des espèces" et
témoigne d'une vie parfois disparue.
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Muséum d'Histoire Naturelle Marseille. |
Trouver un fossile est relativement facile il en va tout autrement de son identification (on dit de sa
détermination). Bien souvent il faut se débrouiller seul, par comparaison avec les spécimens des musées ou des collectionneurs,
le plus souvent avec la documentation en sa possession.
Celle-ci n'est pas toujours le reflet des dernières découvertes, on se heurte alors aux
révisions
et à la synonymie. Toute aide sera donc la bienvenue, je vous serai reconnaissant,
cher lecteur, de bien vouloir me corriger lorsque je me suis trompé.
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A tous ceux qui m'ont apporté conseils, aide et soutien, j'adresse mes sincères remerciements.
Cités dans la rubrique concernée, vous y trouverez un lien vers leur site.
Le personnage qui vous a reçu est dû au coup de crayon d'Hervé que je remercie d'avoir ainsi
permis de personnaliser, le mot est juste, mon site.
Je souhaite remercier en particulier et du fond du coeur mon ami belge Denis.
Son site, fermé aujourd'hui, qui a hébergé une dizaine de mes pages a toujours été pour moi un modèle du genre.
Il a su y exprimer sa façon de vivre les fossiles, y créer le dialogue, partager avec d'autres
sa vitrine sur le monde.
Ce site, dans lequel j'ai souhaité privilégier l'image, ne présente sans doute pas toute les garanties d'une grande rigueur scientifique
et ne revendique pas autre volonté que de partager ses découvertes avec le plus grand nombre.
Si j'ai voulu comprendre pour mieux expliquer aux autres, c'était peut-être prendre un risque.
Une lecture a suffit pour balayer cette crainte, que son illustre auteur en soit ici remercié :
"... Le vieux maître sait un grand secret :
il sait que les plus forts d'entre nous ne savent rien;
que devant la vérité immuable, la science va se transformant
sans cesse; que nos théories sont, autour des phénomènes, de
simples vêtements, commodes et éclatants pendant quelques
jours ou quelques années, et qui bientôt se démodent, se déforment,
vieillissent et tombent".
Pierre Termier (A la gloire de la Terre. Souvenirs d'un géologue - 1922).